"Marcher" Quotes from Famous Books
... chaque cote neuf a dix pieds sur lesquels on pouvait marcher; et les soldats, apres etre montes, avaient pu se ranger commodement sur l'espace exterieur et enjamber ensuite les palissades, qui ne s'elevaient que d'a-peu-pres deux pieds au-dessus du niveau de ... — The Works of Lord Byron, Volume 6 • Lord Byron
... Le puits la balle et la manivelle pour donner de la force a une epaule faible. L'Echelle pour redresser les epaules. Le Cheval pour apprendre a y monter, et tenir le corps dans un etat naturel. Le Jube pour redresser la tete et donner des graces; les Plombs pour apprendre a marcher avec grace. Le Fauteuil pour lever un cote de la poitrine qui seroit plus bas que l'autre; le soufflet pour donner un exercise regulier a toutes ... — A tour through some parts of France, Switzerland, Savoy, Germany and Belgium • Richard Boyle Bernard
... d'infanterie le suivait de pres, et les uns et les autres se promettaient une victoire facile si les paysans osaient se presenter a leur rencontre. Ils etaient a peine entres dans un chemin rude et etroit, et qui ne permettait qu'a trois ou quatre de marcher de front, qu'ils se sentirent accables d'une grele de pierres et de traits. Rodolphe de Reding, landamman de Schwitz et general des Confederes, n'avait oublie aucun des avantages que lui offrit la situation des lieux. Il avait fait couper des rochers enormes, qui en s'ebranlant des qu'on ... — Gibbon • James Cotter Morison
... A mountain in Grabfeld is called Similes and in a Swiss song a Simeliberg is again mentioned. This makes us think of the Swiss word 'Sine!,' for 'sinbel,' round. In Meier, No. 53, we find 'Open, Simson.' In Prohle's 'Marcher fur die Jugend,' No. 30, where the story is amplified, it is Simsimseliger Mountain. There is also a Polish story which is very like it." Dr. Grimm is mistaken in saying that in the Arabian tale the ... — Supplemental Nights, Volume 3 • Richard F. Burton
... forces moved through the forest. They passed by every road, by every lane, through every avenue of trees. I heard the whispered commands of the officers. I heard the sloshing of the mud under foot and the occasional muffled curse of some weary marcher who would slip to the ground under the weight of his burden; and I knew, all of us knew, that at the zero hour, 4:35 o'clock in the morning, all hell would land on the German line, and these men ... — "And they thought we wouldn't fight" • Floyd Gibbons
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